I
Chargée de clientèle dans une
société d’import-export, à 40 ans, et bien qu’elle ait donné naissance à trois
enfants, Chloé avait conservé les courbes harmonieuses d’un corps de 20 ans.
Autrefois gymnaste de haut niveau, elle n’avait jamais cessé de faire du sport,
entretenant ainsi une plastique qui continuait à faire saliver beaucoup
d’hommes aujourd’hui et en rendaient jalouses plus d’une. Mariée depuis 15 ans,
heureuse en ménage, elle n’avait toutefois jamais tiré un trait sur sa vie de
femme libre et libertine, ayant régulièrement des relations extra conjugale bi
sexuelle. Son mari était au courant de son libertinage et l’acceptait, même
s’il ne partageait les mêmes valeurs, car elle avait toujours été honnête avec
lui et lui avait fait part de ses règles dès le départ de leur relation.
« Je te serai fidèle en amour,
lui avait-elle expliqué, mais je ne pourrais me passer de découvrir d’autres
corps, qu’ils soient hommes ou femmes. Je préfère t’avertir dès à présent,
avant que nous nous impliquions de trop dans une vie de couple. Bien sûr, tu
pourras en faire autant, voire même partager certaines de mes soirées
libertines, le principe étant de ne jamais nous mentir. »
Bien que très nettement moins libéré
que Chloé, Victor avait accepté ce contrat par amour et ne l’avais finalement
jamais regretté, tant il se sentit épanoui dans sa vie sexuelle.
De par sa vie dissolue, Chloé
avait de nombreux amis, et amies, mais une seule personne comptait vraiment à
ses yeux, une personne qu’elle connaissait depuis les bancs de l’école et
qu’elle n’avait jamais perdue de vue : Sandrine. Toutes deux avaient
grandies dans le même quartier parisien, avaient fait les quatre cents coups ensemble,
avaient partagé leurs premières déceptions amoureuses et continuaient à
partager leurs expériences, qu’elles soient sexuelles ou autres : elles
étaient liées par une amitié à jamais indéfectible et c’était au nom de cette
amitié que Sandrine se creusait la tête depuis près d’une semaine, pour trouver
le cadeau inoubliable pour les 40 ans de son amie.
Belle femme de 38 ans, cadre
supérieur dans une grande banque, Sandrine aimait le sexe tout autant que Chloé,
mais à la différence de cette dernière, elle avait préféré ne jamais s’engager
dans une relation à long terme, préférant, de loin, les aventures sans
lendemain, même si certaines avaient tout de même duré quelques mois. Elle
éprouvait une vive admiration pour Chloé et son mari qui avaient réussi un si
long chemin ensemble, sans le moindre orage dans leur couple ; du reste,
ce fut Victor qui lui demanda d’organiser quelque chose de spécial pour les 40
ans de sa femme.
40 ans ; un cap important à
passer dans la vie de quelqu’un et qui, par conséquent, devait se fêter à sa
juste valeur. Il fallut près d’une semaine à Sandrine avant de trouver l’idée
parfaite, une évidence qui aurait dû lui venir à l’esprit beaucoup plus tôt.
Elle savait Chloé parfaitement heureuse dans sa vie conjugale, comme dans sa
vie libertine, mais elle savait aussi qu’elle était frustrée de n’avoir toujours
pas pu réaliser un fantasme l’habitant depuis plus de cinq ans, un désir qui
lui était venue lors d’une soirée passée ensemble. Après avoir dîné dans un
restaurant, elles avaient décidé d’aller au cinéma, mais pas n’importe quel
cinéma : un pornographique. Ce n’était pas réellement le film qui intéressait
les deux amis, mais plutôt ce qui pouvait se passer dans la salle obscure. L’idée
les avait fait beaucoup rire, puis elles avaient mis leur projet à exécution et
trouvé rapidement la salle adéquate contenant une vingtaine de personnes, en
majorité des hommes.
Alors qu’elles s’amusaient à
promener leurs yeux entre l’écran et un homme installé à leur droite, deux
rangées plus loin, une scène du film monopolisa subitement leur attention.
L’acteur était habillé en femme, portant une jupette Vichy, retroussé sur ses
hanches, des bas noirs maintenus par des jarretelles et des chaussures à talons
aiguilles. Une petite culotte en dentelle rouge descendu à ses genoux, penché
au-dessus d’une table, il se faisait prendre avec force par une actrice équipée
d’un gode ceinture, un châtiment qu’il semblait fortement apprécier, poussant
des cris de plaisirs à chaque coup de boutoir.
Chloé fut totalement subjuguée par
cette scène, ne parvenant plus à quitter l’écran des yeux. A un moment, n’y
tenant plus, elle avait remonté sa jupe pour glisser une main dans sa culotte
et s’occuper de son intimité, jusqu’à atteindre un orgasme qui réveilla toute
la salle. En quittant le cinéma, elle avait avoué à Sandrine qu’elle aimerait
vivre cette expérience pour de vrai, trouver un homme qui accepterait de se
faire sodomiser par elle, mais, plus de cinq années plus tard, elle n’avait
toujours pas rencontré l’homme pouvant assouvir son fantasme ; Sandrine
voulait lui en offrir un pour son anniversaire et elle pensait avoir trouvé la
personne idéale.
Eric, 23 ans, était un homme
aimant les aventures sexuelles, surtout lorsqu’il s’agissait de femmes beaucoup
plus âgées que lui, des cougars comme on les nomme aujourd’hui. Il avait connu
Sandrine au cours d’un stage qu’il effectuait dans la banque où elle était
directrice, avait très vite sympathisé avec elle et, tout aussi rapidement,
s’était retrouvé dans son lit une seule et unique fois, passant une nuit dont
il se souvenait encore, cinq mois plus tard. Il fut agréablement surpris de
recevoir un coup de téléphone de sa part, l’invitant à prendre un verre
ensemble, car il n’espérait plus avoir de ses nouvelles un jour.
Après les rapides banalités
d’usage, Sandrine entra rapidement dans le vif du sujet, expliquant à Eric
qu’elle souhaitait organiser un anniversaire très spécial pour l’une de ses
amies, une soirée où un homme assurerait le service… mais habillé en serveuse.
-
Je
ne suis pas sûr d’avoir tout compris.
-
Chloé,
mon amie, a un vieux fantasme resté inassouvi, celui d’avoir, à sa disposition,
un homme portant des vêtements et dessous féminins !
Elle
lui expliqua longuement le déroulé de la soirée, lui présentant une belle fête où
le sexe aurait sa part belle, mais décida de ne pas lui parler de la partie
concernant la sodomie, estimant que chaque chose devait venir en son temps.
Plus
que le travestisme, Eric fut alléché à l’idée de pouvoir faire l’amour avec
deux cougars et ce fut sans trop d’hésitation qu’il finit par accepter de
participer à ce petit jeu.
-
Comment
fait-on pour la tenue ? demanda-t-il.
-
Tu
n’as à t’occuper de rien : c’est moi qui m’occupe de te trouver tout ce
qu’il faut !
-
D’accord.
C’est pour quand cette soirée ?
-
Samedi
qui vient, mais il va falloir que l’on te prépare un peu avant.
-
C’est-à-dire ?
-
Une
femme avec des poils aux jambes et sur le torse n’est pas vraiment très
appétissante ! Passe me prendre chez moi, demain, à 14 heures 30.
-
Pour
aller où ?
-
Chez
mon esthéticienne.
Le salon d’esthétique ne prenait
pas les hommes en temps normal, mais la patronne étant une intime de Sandrine,
elle ne pouvait rien lui refuser et accepta de faire une épilation totale sur
le corps d’Eric. Néanmoins, afin d’éviter tous scandales avec sa clientèle,
elle avait décidé de fermer son salon pour l’après-midi, décision que ses trois
employées, pouvant partir plus tôt sans perte de salaire, avaient accueilli
avec un grand sourire.
Eric
étant entre de bonnes mains, Sandrine partit à l’assaut des magasins de
vêtements féminins afin de dénicher la tenue parfaite. Sa première idée fut de
trouver quelque chose se rapprochant au plus de ce que portait l’acteur dans le
film porno, mais, concernant les dessous, elle craqua pour un ensemble totalement différent: un
soutien-gorge, un porte-jarretelles avec laçage par le devant et un string, le
tout en satin et parfaitement coordonné ; des bas noirs en soie vinrent
compléter l’ensemble.
Pour
la jupette, elle ne trouva rien rappelant le Vichy, en revanche, son cœur
fondit sur une mini-jupe à motifs géométriques, mélangeant trois teinte de
marrons clairs. Les chaussures furent la partie la plus ardue : Eric
chaussait du 44, une pointure loin d’être commune chez les femmes et ce ne fut
qu’après avoir fait dizaine de boutiques, qu’elle trouva enfin son bonheur dans
une paire de bottillons à lacets, avec des talons pas très hauts, idéale pour
que le jeune homme puisse apprendre à marcher très vite avec.
Le grand jour arriva enfin ;
la soirée allait se dérouler chez Sandrine et elle avait décoré son salon pour
l’occasion, installant, entre autres choses, de nombreuses bougies pour
éclairer la pièce dans une ambiance feutrée. A sa demande, Eric arriva deux heures
avant le début des festivités, temps que Sandrine avait jugé suffisant pour la
phase préparatoire. A peine avait-il franchi le seuil de la porte, qu’elle lui
demanda aussitôt de se déshabiller et de partir sous la douche. Le jeune homme,
un peu vexé, lui expliqua qu’il s’était parfaitement lavé avant de venir.
-
Je
n’en doute pas une seule seconde, lui dit Sandrine, mais il y un endroit que tu
n’as certainement pas dû laver : ton rectum !
-
Pourquoi
veux-tu que je me fasse un lavement anal ? répondit-il soudainement très
méfiant.
Brusquement
beaucoup moins sûre d’elle, Sandrine lui avoua qu’elle ne lui avait pas tout
dit sur le programme de la soirée. Eric écouta toute l’histoire avec une grande
attention et éprouva le besoin d’aller s’assoir pour réfléchir à tout ceci. Se
déguiser en femme, se faire épiler de la tête aux pieds, passe encore, mais se
faire sodomiser, même par une femme…
Sandrine
sentit son cœur se serrer ; toute la réussite de la soirée reposait sur ce
qu’allait décider le jeune homme et, à présent, elle s’en voulait de ne pas lui
avoir tout raconté dès le premier jour,
ce qui aurait pu lui permettre de trouver autre chose en cas de refus. Certes,
Chloé n’était au courant de rien, mais le cadeau qu’elle lui avait acheté
perdrait tout son sens si Eric décidait de partir. Finalement, après quelques
minutes d’un long silence et contre toute attente, le jeune homme accepta de
rester.
-
Je
suppose que tu as tout ce qu’il faut pour effectuer ce lavement ?
Sandrine fut toute émoustillée
lorsqu’elle vit Eric nu, sans le moindre poil. Sa verge et ses parties
génitales étaient délicieusement excitantes, tout comme l’anus qui se
présentait à ses caresses.
Eric
sursauta en sentant le gel à l’entrée de son rectum, puis, peu à peu, se
décontracta sous le massage qui lui était prodigué, ressentant même un début d’excitation
lorsque la pression du doigt s’accentua sur sa fente ; il poussa un
gémissement sourd lorsqu’il fut perforé et un autre lorsque le majeur,
enveloppé dans un latex très fin, s’agita en lui, imprégnant ses parois de
vaseline ; il fut presque déçu que l’opération ne prenne pas plus de
temps.
Sandrine
avait remplacé le traditionnel pommeau de douche par un objet métallique assez
long, fin et de forme conique. Elle fit tout d’abord couler l’eau dans la
douche, pour s’assurer de la bonne température, ni trop chaude, ni trop froide,
puis enduisit le cône de gel.
-
Penche-toi
un peu plus en avant et écarte bien tes jambes ! ordonna-t-elle.
Eric
s’exécuta aussitôt et eut un petit sursaut en sentant l’objet métallique
investir profondément et lentement son intimité jusqu’alors inviolée ; il
en eut un second lorsque l’eau se répandit en lui, mais ne put cacher qu’il
appréciait le traitement, sa verge jouant le même rôle que le nez de Pinocchio lorsqu’il
disait un mensonge. L’eau se déversa un petit moment en lui, faisant gonfler
son ventre au point qu’il finit par croire qu’il allait exploser. Enfin,
Sandrine ferma les robinets et retira doucement le cône métallique.
-
A
présent, lui dit-elle d’une voix rendue rauque par sa propre excitation, serre
les fesses pendant quelques minutes !
-
Combien
de temps ?
-
T’inquiète
pas : je te dirai quand il sera temps de filer aux toilettes.
II
La veille, Sandrine s’était rendue
dans un sex-shop pour acheter ce qui allait permettre à Chloé de réaliser son fantasme.
En plus de ce cadeau, elle avait aussi pris une paire de faux seins en
silicone, ceci pour que le soutien-gorge que porterait Eric soit rempli par
quelque chose. L’effet, bien que surprenant sur un corps disposant d’attributs
masculins, était plutôt satisfaisant. Le jeune homme enfila ensuite le
porte-jarretelles et dût demander l’aide de Sandrine pour en effectuer le
laçage. Ceci fait, elle lui expliqua comment enfiler les bas avec précautions,
pour ne pas les filer, et les lui attacha elle-même aux jarretelles, après
qu’il eut mis le string. Elle se recula de quelques pas pour observer l’effet produit
et éclata de rire : toujours aussi excité, verge bien droite et bourses
gonflées, les attributs d’Eric n’arrivaient pas à tenir correctement dans son
carcan de soie.
-
Voilà
une bosse fort gênante ! s’exclama-t-elle.
-
Je
sais, répondit penaudement Eric, mais je n’arrive pas à débander !
Sandrine
consulta sa montre, puis s’agenouilla devant le jeune homme ; il restait
une demi-heure avant que n’arrive Chloé, ce qui lui laissait assez de temps
pour remédier au problème du mâle en rut, surtout que cette verge l’attirait de
plus en plus, provoquant une douce humidité à l’intérieur de ses cuisses. Sans
dire un mot, elle lui descendit le string à mi-cuisses et pris le pénis dans sa bouche. Elle aimait
énormément sentir le pouvoir qu’elle avait lorsqu’elle tenait ainsi un homme
entre ses lèvres, ses dents. Elle savait parfaitement les amener au bord de
l’orgasme pour le freiner brusquement, attendre que la grosse veine se calme,
avant de recommencer encore et encore. Par moment, elle s’arrêtait juste à
temps pour que seul un petit jet de sperme gicle de l’urètre ; le plus
souvent, elle faisait cela avec un homme attaché, pieds et mains, à un lit ou
bien une chaise. Elle jouissait intérieurement en entendant son partenaire
hurler, la supplier de le libérer, mais elle continuait sa douce torture,
allant jusqu’à lui arracher, parfois, des larmes.
Elle
aurait voulu faire la même chose avec Eric,
mais le temps lui faisait défaut : tout devait être prêt avant
l’arrivée de Chloé. Elle sortit un instant la verge de sa bouche ; le
gland était devenu rouge vif et, en levant les yeux, elle constata que ceux
d’Eric étaient totalement clos : il était entièrement en son pouvoir. Elle
humecta son index, puis reprit la verge à pleine bouche.
Eric
commençait à ressentir les premiers indicateurs d’une vague sur le point de se
soulever. Ondulant doucement des hanches, il poussait de petits soupirs de
bonheur et n’avait plus le moindre regret d’avoir accepté cette étrange soirée.
Presque involontairement, il se cambra
lorsque sa maîtresse promena un doigt entre ses fesses et frémit quand ce même
doigt força l’entrée de son anus, se faufilant dans le rectum en s’agitant tel
un petit serpent.
Sandrine
sentit la grosse veine battre plus vite sur sa langue. Elle agita son doigt
plus rapidement dans la grotte étroite et ses oreilles se délectèrent des
gémissements d’Eric, à un tel point que sa petite culotte lui collait au vagin
tant elle était trempée de cyprine. Le sperme chaud vint la frapper brutalement
au fond de la gorge, mais elle continua à pomper sur le membre jusqu’à ce qu’il
n’y ait plus une seule goute qui s’en déverse, tout en continuant à s’activer
dans le rectum du jeune homme qui ne contenait plus ses hurlements de plaisirs.
Après quelques minutes, tout était
enfin rentré dans l’ordre et Eric put mettre le string en y faisant entrer tous
ses attributs. Il acheva d’enfiler le reste des vêtements, puis Sandrine l’aida
à se glisser dans les bottillons, en jetant quelques regards furtifs sous la
mini-jupe. Le string était noir transparent et l’objet de plaisir, prisonnier
de cette soie divine, se devinait très facilement.
-
Marche
un peu, demanda-t-elle en s’éloignant de quelques pas, que je vois ce que cela
donne.
Eric
obéit aussitôt et éprouva une sensation étrange à évoluer ainsi, en talon haut
et mini-jupe. A chacun de ses pas, les bas en soie semblaient lui caresser les
jambes en des milliers d’endroits à la fois, lui procurant quelques frissons,
et la ficelle du string, bien logée entre ses fesses, lui donnait l’impression
de vouloir pénétrer son anus.
-
Tu
marches comme un mec ! s’exclama Sandrine en riant.
-
C’est
un peu normal, non ?
-
Certes,
mais n’oublie pas que pour ce soir, tu es une femme et dois donc adopter des
comportements adéquats, moins machos ! Essaie de marcher en croisant les
pieds devant toi.
Après
une dizaine de minutes d’entrainement, Eric finit par assimiler une démarche
qui convint enfin à Sandrine. La mini-jupe s’arrêtait suffisamment haut pour
voir qu’il portait des bas maintenus par des jarretelles, ce qui donnait envie
d’aller voir encore plus haut. Pour parfaire la tenue, Sandrine lui fit enfiler
un chemisier de sa propre garde-robe ; fort heureusement il n’était pas de
forte corpulence et le chemisier lui alla parfaitement. Elle se recula pour
admirer le résultat final.
-
Incroyable !
s’exclama-t-elle. L’effet est… saisissant !
La ponctualité étant l’une de ses
grandes qualités, Chloé arriva à 21 heures précises. Elle s’extasia aussitôt
devant l’ingéniosité déployée par son amie pour la décoration du salon,
transformé, pour l’occasion, en une charmante petite salle-à-manger.
-
Ma
chérie, tu t’es mise en quatre ce coup-ci !
-
40
ans, ma belle, cela se fête dignement, répondit Sandrine, et tu n’as pas encore
tout vu ! Installons-nous à table : ce soir, nous avons la chance
d’avoir une serveuse… très particulière !
Très
intriguée, Chloé prit place sur une chaise en face de son amie et cette
dernière agita une petite clochette qui se trouvait posée sur la table. Eric
arriva aussitôt, portant un plateau supportant deux coupes de Champagne. Chloé
ne put s’empêcher de se frotter les yeux, puis, l’instant de stupeur passée,
elle se sentit gagné par une très forte émotion, se souvenant, soudainement, de
la scène d’un film bien précis.
-
Je
te présente Eric, un ami, lui expliqua Sandrine. Ce soir, il est là pour toi,
pour ton anniversaire. Il est entièrement à ton service, prêt à satisfaire tes
moindres désirs !
-
Tu
es sérieuse ?
-
Eric,
je te laisse le soin de répondre à mon amie Chloé.
-
Oui,
madame, je suis entièrement à votre disposition pour tout le temps que durera
cette soirée.
-
Wow !
Eric
posa les coupes sur la table, puis repartit vers la cuisine, croisant les pieds
devant lui comme le lui avait appris Sandrine. Chloé le regarda s’éloigner,
déjà très fascinée par le fessier ondulant du jeune homme.
-
Bon,
fit-elle à l’adresse de son amie, dis-moi tout. Qui est ce gamin ?
-
Ton
fantasme à portée de main, répondit Sandrine.
-
Nous
parlons de quel fantasme ?
-
Tu
le sais très bien ! Ce soir, tu vas enfin pouvoir le réaliser !
-
Si
je m’attendais à ça… C’est bien la première fois que je n’arrive pas à trouver
mes mots.
-
Et
tu n’as pas encore tout vu !
-
Il
y a encore autre chose ?
-
Bien
sûr ! Il manque un petit paquet cadeau, contenant le nécessaire pour aller
jusqu’au bout de tes envies !
-
Et
où est-il ce cadeau ? demanda Chloé en regardant rapidement autour d’elle.
-
Patience,
ma belle, chaque chose en son temps ; je te le donnerai au moment du
dessert !
-
Je
ne suis pas certaine de tenir jusqu’à là : mon petit minou commence déjà à
saliver fortement… si tu vois ce que je veux dire.
Sandrine
éclata de rire, imaginant que trop bien ce qu’il pouvait se passer au niveau de
la grotte aux merveilles de Chloé. Elle leva sa coupe devant elle et porta un
toast :
-
Je
souhaite que cet anniversaire soit l’un des plus beaux de ta vie !
III
Eric passa le début de soirée à
naviguer entre le salon et la cuisine, apportant au fur et à mesure les plats
que Sandrine avait commandé chez un traiteur et s’assurant à ce que les verres
des deux amies soient toujours remplis, le tout en affichant un grand sourire
et en échangeant de nombreux regards complices avec Chloé.
Dans
un premier temps, il s’était senti très gêné par le string : habitué à
porter essentiellement des boxers, le frottement de la ficelle, bien calée
entre ses fesses et contre son anus, l’avait fortement dérangé ; il avait
eu beau tirer dessus, elle avait toujours repris sa place. Puis, petit à petit,
il avait fini par s’habituer à ce contact, jusqu’à l’oublier totalement. En
revanche, le fait d’évoluer en bas de soie et mini-jupe lui avait tout de suite
donné un sentiment de bien-être qu’il avait du mal à s’expliquer, à tel point
qu’il se surprit à penser qu’il était bien dommage que ces tenues soient
exclusivement réservées aux femmes, sachant que ces dernières pouvaient porter
des pantalons sans que cela ne choque personne.
Chloé s’était tout d’abord sentie
intimidée par cette présence masculine si efféminé, puis, en cours de repas,
quelque peu grisée par les verres de vin, elle avait fini par se laisser
prendre au jeu, pour finir par se lâcher complètement avant que n’arrive le
dessert. Alors qu’Eric débarrassait la table des assiettes et couverts devenus
inutiles, elle attendit qu’il soit assez près d’elle pour poser une main sur sa
cuisse et la faire glisser tout doucement sous la jupe, jusqu’à rencontrer la
peau nue du jeune homme. Surpris, ce dernier ne put réprimer un petit
sursaut, avant de se laisser totalement faire. La main de Chloé caressa
furtivement ses testicules au travers du string, puis s’attarda quelques secondes
sur l’une de ses fesses pour la masser assez fermement.
-
Tourne-toi !
lança-t-elle brusquement, prenant confiance en elle. Et penche-toi !
Eric
obéit sans dire un mot et s’aida du bord de la table pour pouvoir se maintenir
courber en avant. Dans cette position, la mini-jupe était remontée assez haut
pour que Chloé puisse voir la naissance du fessier et la ficelle du string s’y
perdant. Une vive émotion la gagna rapidement, lui procurant une douce chaleur
au ventre, et, n’y tenant plus, elle retroussa la jupe sur les hanches du jeune
homme et lui écarta aussitôt les fesses, désireuse de voir l’objet de son
fantasme. D’une main un peu fébrile, elle poussa la ficelle sur un côté et
s’extasia à la vue de l’anus, si petit, si fragile. Elle approcha lentement son
visage et promena la pointe de sa langue le long de la raie.
Eric
frissonna à ce contact et ferma les yeux en sentant l’organe humide flirter à
l’entrée de sa grotte. Son cœur se mit à battre plus vite, plus fort, à la fois
d’excitation, mais aussi d’un peu de crainte, et son sexe se durcit aussitôt.
-
Il
semblerait que tu aimes ça ?
-
Oui,
madame.
-
Tu
as déjà été sodomisé ?
-
Non,
jamais.
-
Cela
n’en est que plus excitant !
Sandrine
observait la scène en silence et fut
elle-même gagnée par un trouble très fort, d’autant plus fort que son excitation
était en latence depuis bien avant que n’arrive Chloé. Ravie de voir le sourire
de satisfaction illuminer le visage de son amie, elle décida néanmoins
d’intervenir, avant que les choses n’aillent trop loin : il était encore
trop tôt.
-
Eric,
va m’attendre dans la cuisine ! dit-elle d’une voix un peu rauque. Le
moment du dessert est arrivé, continua-t-elle à l’adresse de son amie. Es-tu
prête pour le gâteau et… pour ton premier cadeau ?
-
Plutôt
deux fois qu’une, répondit Chloé les yeux brillants d’excitation.
-
Alors,
ne bouge surtout pas : je reviens très vite !
Lorsque Sandrine entra dans la
cuisine, Eric avait déjà posé la génoise au chocolat sur le plan de travail et
s’afférait à y positionner des bougies avec un grand soin.
-
Te
souviens-tu de ce que tu dois faire ensuite, une fois que tu auras amené le
gâteau ?
-
Je
file dans ta chambre et j’y reste jusqu’à nouvel ordre.
-
Tu
es un ange. Je te suis reconnaissante pour mon amie et je suis certaine que tu
ne vas pas le regretter !
-
C’est
aussi ce que je crois, même si je continue à avoir une petite appréhension.
Sandrine
déposa un petit baiser sur la joue d’Eric, puis pris le paquet cadeau qu’elle
avait rangé dans l’un des placards et s’en retourna gaiement au salon,
accompagnée par le jeune homme portant la génoise. Tous deux entonnèrent en
cœur un « joyeux anniversaire » bourré de fausses notes, mais qui fit
néanmoins verser une larme à Chloé. Tandis que cette dernière soufflait les
quarante bougies, Eric s’éclipsa discrètement.
-
A
présent, ma belle, voici la première partie de ton cadeau !
Excitée
comme une puce, Chloé prit le paquet que lui tendait son amie et déchiqueta le
papier d’une main nerveuse ; elle fut très surprise en découvrant
l’objet : elle s’était attendue à recevoir un gode ceinture, le thème de
la soirée étant basé sur son vieux fantasme, mais ce qu’elle avait devant les
yeux ne ressemblait en rien à un gode ceinture classique.
-
C’est
un gode Share, lui expliqua Sandrine en riant. La partie la plus courte,
complètement recourbée, vient se glisser dans le vagin ; il parait que
cela augmente le plaisir lorsque l’on pénètre ainsi quelqu’un, quel que soit
l’endroit que l’on pénètre.
-
Incroyable,
murmura Chloé commençant à visualiser la chose. Tu m’aides à l’installer ?
Sans
attendre la réponse, Chloé retira ses chaussures, son jean et sa petite
culotte, puis s’approcha de Sandrine dont elle devina le trouble dans ses yeux.
Même si elles partageaient beaucoup de choses au cours de leurs longues
discussions, il n’y avait jamais eu d’ambiguïté entre elles, aucun acte sexuel,
pas même un échange de baiser, même si le désir s’était secrètement fait sentir
parfois.
-
Tu
m’aides ? répéta Chloé en lui tendant le gode.
Sans
dire un mot, Sandrine se saisit de l’objet et se s’approcha de son amie, se sentant
enivrée par son parfum légèrement épicé. Elle inséra d’abord le gode dans le
harnais en cuir noir qui l’accompagnait, puis, la gorge serrée par l’émotion,
elle porta une main à la vulve parfaitement rasée et s’aperçut qu’elle était
déjà bien humide en lui écartant les grandes lèvres. Timidement, presque
maladroitement, elle infiltra un doigt dans la fente et Chloé ouvrit un peu
plus les jambes pour lui faciliter le passage en expirant un peu plus fort.
-
Es-tu
prête, lui demanda Sandrine dans un souffle.
-
Oh
que oui !
Chloé
ferma les yeux et s’agrippa aux épaules de son amie, tandis que cette dernière
présentait le gode à l’entrée de son vagin. Avec une infinie précaution dictée
par son inexpérience, elle commença à le faire entrer, à l’écoute de la respiration
rapide de son amie. Lorsqu’elle fut arrivée en bout de course, elle ne put
résister à l’envie de donner quelques mouvements de va-et-vient au gode et
s’arrêta en entendant les premiers gémissements de Chloé. Passant ses bras
autour de sa taille, elle fixa le harnais en cuir destiné à maintenir le gode
bien en place.
-
Te
voilà appareillée pour le grand final, lui dit-elle.
Chloé
ne chercha même pas à résister à l’envie furieuse qui venait de s’emparer
d’elle. Sans dire un mot, elle colla ses lèvres à celles de Sandrine, força sa
bouche et alla trouver sa langue tout en glissant une main ferme sous sa jupe.
Son désir augmenta d’un cran supplémentaire en découvrant que son amie ne
portait pas de dessous et qu’elle était fortement trempée. D’une force presque
bestiale, elle la souleva pour la mettre sur la table, la fit s’allonger et
retroussa sa jupe. Elle caressa un moment les grandes lèvres, puis approcha le
gode et l’empala assez rapidement.
Très
vite remise de sa surprise, Sandrine posa ses jambes sur les épaules de sa
partenaire et se mit à agiter ses hanches au rythme des coups de boutoirs qui
lui étaient assénés. Son excitation était telle et si longtemps contenue,
qu’elle sentait déjà se lever la grande vague orgasmique.
Chloé
était agréablement surprise par son nouveau jouet qui, bien que solidement
maintenu par le harnais, bougeait en elle en accompagnant à merveille tous ses
mouvements de va-et-vient. Des picotements pétillèrent aux creux de ses reins
et elle s’activa encore plus rapidement, plus fort, arrachant des hurlements de
plaisir à sa partenaire. Elle planta sauvagement ses ongles dans les mollets de
Sandrine lorsque l’orgasme explosa en elle, déclenchant aussitôt celui de celle
qui était devenue, l’espace d’une soirée, plus qu’une complice, une véritable amante.
Chapitre IV
Les cris de plaisir des deux
femmes avaient mis Eric dans un intense état d’excitation, à tel point qu’il avait
été tenté de se caresser pour se donner du plaisir en solitaire. Mais il
réussit à résister à cette envie et se sentit soulagé lorsqu’il comprit que les
deux amies en avaient fini et allaient bientôt faire leur apparition dans la
chambre où il se trouvait. Son cœur s’accéléra brusquement lorsque la porte
s’ouvrit devant Sandrine, suivie de près par Chloé. Son regard se porta
immédiatement sur l’appareillage de cette dernière et une petite boule se forma
dans sa gorge en voyant approcher de lui ce faux sexe masculin, si droit, si
rigide et d’une taille qui lui paraissait impressionnante.
Sandrine s’était mise dans un coin
de la chambre pour, armée d’un superbe appareil numérique, prendre les photos
qui allaient immortaliser cette soirée si spéciale pour les trois
protagonistes. Elle prit plusieurs clichés de son amie, subjuguée par sa grâce
féline. Elle était étonnée de voir que, malgré l’objet niché entre ses jambes,
elle arrivait à conserver une démarche des plus féminines.
Chloé avançait très lentement,
appréciant, à chacun de ses pas, le doux supplice auquel la mettait la partie
du gode enfoncé en elle. Elle ne quittait pas des yeux Eric, assis sur le bord
du lit, et devinait l’appréhension qui l’habitait ; mais elle savait qu’il
n’y aurait plus de marche arrière, qu’elle saurait le mettre en confiance et
lui faire partager l’immense plaisir qu’elle était certaine de prendre. Elle
s’arrêta devant lui pointa le gode devant sa bouche.
-
Suce !
lui ordonna-t-elle. Et suce bien ! Tu vas voir que tu vas beaucoup aimer :
il a le gout du plaisir de Sandrine !
Eric
donna de petits coups de langue timides et fut aussitôt surpris de constater
que Chloé avait dit vrai : au-delà d’une petite odeur de silicone, le gode
avait bien un goût de cyprine.
-
Je
t’ai demandé de sucer ! s’écria Chloé en le prenant par les cheveux. Donc,
suce ! ajouta-t-elle en donnant un coup de rein pour lui enfoncer le gode
dans la bouche.
D’abord très surprise par le côté
dominatrice qu’elle ne connaissait pas chez Chloé, Sandrine éprouva rapidement
une forte montée d’adrénaline en voyant la bouche d’Eric se déformer sous
l’intrusion brutale du gode. Puis une douce chaleur lui envahit le creux du ventre, lui procura des picotements dans
les reins et humidifia l’entrée de sa féminité, lorsque son amie se mit à
donner des coups de hanche assez rapide, en maintenant fortement la tête d’Eric
d’une main. La réalité semblait dépasser la fiction et elle voyait parfaitement
le plaisir que Chloé prenait à ce jeu.
-
Tu
aimes ça, n’est-ce pas ?
-
Oui,
répondit Eric en tentant de reprendre un peu son souffle.
-
Oui,
qui ?
-
Oui,
Madame.
Chloé
esquissa un petit sourire puis décida de passer à autre chose. Elle ordonna au
jeune homme de se mettre à quatre pattes sur le lit et, une fois fait, lui ramena
la minijupe sur les hanches pour promener son index le long de la raie des
fesses ; Eric se mit aussitôt frémir.
Sandrine
se rapprocha pour prendre de meilleures photos, son entrecuisse de plus en plus
trempée. Elle savait qu’elle ne continuerait pas longtemps ainsi, en simple
spectatrice : ce qu’elle voyait était bien au-delà de ce qu’elle avait
imaginé et elle avait de plus en plus de difficulté à résister au désir de se
caresser le clitoris, de faire danser ses doigts dans sa vulve. Cette envie
tripla d’intensité lorsque son amie s’agenouilla devant la croupe d’Eric et lui
descendit brutalement le string aux genoux.
Chloé tint les fesses d’Eric
écartées avec ses deux mains et promena un moment la pointe de sa langue entre
les testicules et l’anus. Il apprécia fortement ce nouveau traitement, doux,
délicat, chaud et il poussa un gémissement lorsque l’organe humide stoppa enfin
ses allées et venues pour se concentrer sur sa corolle. Presque inconsciemment,
il avança un peu plus ses hanches vers la bouche de sa maîtresse, soudainement
désireux qu’elle poursuive plus loin ses investigations, mais Chloé se redressa
brusquement en lançant un clin d’œil rapide à Sandrine. Cette dernière comprit
le message, posa son appareil photos au sol et ouvrit le tiroir de sa table de
chevet pour en sortir un tube de vaseline qu’elle tendit aussitôt à son amie.
Eric
sursauta en sentant la petite noisette de lubrifiant couler entre ses fesses et
poussa un long soupir lorsqu’un doigt vint lui masser l’anus, se faisant de
plus en plus pressant, jusqu’au moment où il le pénétra doucement, en
tournoyant afin de bien étaler la vaseline. Sa respiration commença à devenir
un peu plus rapide et il ne put s’empêcher d’onduler des hanches pour
accompagner le mouvement du doigt.
Enhardie
par ce début prometteur, Chloé décida d’enduire aussi son majeur de lubrifiant,
afin qu’il rejoigne l’index dans la chaude cavité, puis imprima des va-et-vient
à ses doigts de plus en plus rapides, de plus en plus forts.
-
Aimes-tu
ce que je te fais ? demanda-t-elle d’une voix très rauque.
-
Oh
que oui !
-
Alors,
il est temps de passer aux choses sérieuses !
Chloé
enduisit le gode d’une bonne quantité de vaseline, puis le présenta à l’entrée
de la caverne masculine et, s’aidant d’une main, commença à le faire glisser
lentement, savourant avec délice le sentiment de puissance, de domination
qu’elle éprouvait à ce moment-là. Elle sentit bien qu’Eric, sans doute dans un
réflexe involontaire, essayait de repousser l’intrus, mais elle était la plus
forte et, tout doucement, le gode fut entièrement avalé par le rectum. Elle
resta au fond du jeune homme sans bouger ; les contractions du sphincter
se faisait sentir tout le long du gode, se communiquant dans la partie nichée
en elle et lui donnant d’intenses frissons. Puis, finalement, Eric finit par se
relâcher totalement et elle commença alors ses mouvements d’allers retours,
doucement d’abord, puis de plus en plus fort, jusqu’à en faire claquer ses
cuisses contre les fesses du jeune homme. Ce dernier, les yeux fermés, sentait
un réel plaisir à cette pénétration devenant de plus en plus sauvage. Sans
aucune retenue, il poussait de forts et longs gémissements, encourageant par
moment sa maîtresse à le prendre encore plus fort. A présent, le gode sortait
entièrement de son rectum, pour s’y replonger aussitôt et s’enfoncer au plus
profond de lui.
Chloé
sentit l’onde de choc se préparer à se soulever en elle. Elle ne quittait plus
des yeux l’anus parfaitement dilaté en se souvenant des images du film. Mais,
cette fois, elle était la femme dominatrice et l’homme, qui criait sous ses
violents coups de boutoirs, n’était pas un acteur : les cris n’étaient pas
simulés, mais bien réels. Des fourmis semblèrent lui monter le long de ses
jambes ; ses ongles se plantèrent dans les fesses du jeune homme, le
faisant hurler à la fois de douleur et de bonheur, et elle se laissa emporter
par la grande vague qui déferla en elle, la faisant crier à son tour de
plaisir.
Après quelques petites secondes
nécessaires pour reprendre son souffle, Chloé se retira et regarda la cavité
béante de celui qu’elle considérait maintenant comme son esclave, les yeux
toujours aussi brillants d’envie. Elle en approcha sa bouche et y fit lentement
couler un long flot de salive. Le liquide chaud surpris d’abord Eric, puis lui
arracha de nouveaux frissons tandis qu’il descendait le long de sa paroi anale.
-
Je
vais encore te prendre ! lui lança Chloé. Allonge-toi sur le dos !
Elle
lui prit les pieds pour poser ses jambes sur chacune de ses épaules, de manière
à ce qu’il ait les hanches légèrement relevés, et le pénétra d’un coup de rein
puissant. Alors qu’elle allait et venait en lui, elle ressentit des sensations
différentes de la première fois : cette fois, elle pouvait voir son visage
se tordre sous ses puissantes envolées de hanches.
Sandrine avait définitivement lâché
son appareil photos. Deux doigts s’activant dans son vagin, elle s’était
approchée du lit, regardant avec envie la verge dure et droite d’Eric.
Ce-dernier se tordait à présent dans tous les sens, à l’identique d’une femme
se faisant prendre par un homme. Bientôt, il se mit à ressentir comme une envie
d’uriner, un besoin de plus en plus fort, de plus en plus pressant qu’il savait
qu’il ne pourrait plus contenir. Il eut un instant de crainte, un très court
instant, juste avant que des milliers d’étoiles semblent apparaitre devant lui.
Ses pensées et tout son corps échappèrent à son contrôle et il fut emporté dans
un orgasme d’une puissance qu’il n’avait jamais connu jusqu’alors, un orgasme
qui le éjaculer sans que qui que ce soit touche à sa verge, projetant de longs
jets de sperme que Sandrine accueillit sur son visage, emportée, elle aussi,
dans le labyrinthe de la jouissance.
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