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vendredi 4 septembre 2015

Chloé

I


            Chargée de clientèle dans une société d’import-export, à 40 ans, et bien qu’elle ait donné naissance à trois enfants, Chloé avait conservé les courbes harmonieuses d’un corps de 20 ans. Autrefois gymnaste de haut niveau, elle n’avait jamais cessé de faire du sport, entretenant ainsi une plastique qui continuait à faire saliver beaucoup d’hommes aujourd’hui et en rendaient jalouses plus d’une. Mariée depuis 15 ans, heureuse en ménage, elle n’avait toutefois jamais tiré un trait sur sa vie de femme libre et libertine, ayant régulièrement des relations extra conjugale bi sexuelle. Son mari était au courant de son libertinage et l’acceptait, même s’il ne partageait les mêmes valeurs, car elle avait toujours été honnête avec lui et lui avait fait part de ses règles dès le départ de leur relation.

            « Je te serai fidèle en amour, lui avait-elle expliqué, mais je ne pourrais me passer de découvrir d’autres corps, qu’ils soient hommes ou femmes. Je préfère t’avertir dès à présent, avant que nous nous impliquions de trop dans une vie de couple. Bien sûr, tu pourras en faire autant, voire même partager certaines de mes soirées libertines, le principe étant de ne jamais nous mentir. »

            Bien que très nettement moins libéré que Chloé, Victor avait accepté ce contrat par amour et ne l’avais finalement jamais regretté, tant il se sentit épanoui dans sa vie sexuelle.

            De par sa vie dissolue, Chloé avait de nombreux amis, et amies, mais une seule personne comptait vraiment à ses yeux, une personne qu’elle connaissait depuis les bancs de l’école et qu’elle n’avait jamais perdue de vue : Sandrine. Toutes deux avaient grandies dans le même quartier parisien, avaient fait les quatre cents coups ensemble, avaient partagé leurs premières déceptions amoureuses et continuaient à partager leurs expériences, qu’elles soient sexuelles ou autres : elles étaient liées par une amitié à jamais indéfectible et c’était au nom de cette amitié que Sandrine se creusait la tête depuis près d’une semaine, pour trouver le cadeau inoubliable pour les 40 ans de son amie.

            Belle femme de 38 ans, cadre supérieur dans une grande banque, Sandrine aimait le sexe tout autant que Chloé, mais à la différence de cette dernière, elle avait préféré ne jamais s’engager dans une relation à long terme, préférant, de loin, les aventures sans lendemain, même si certaines avaient tout de même duré quelques mois. Elle éprouvait une vive admiration pour Chloé et son mari qui avaient réussi un si long chemin ensemble, sans le moindre orage dans leur couple ; du reste, ce fut Victor qui lui demanda d’organiser quelque chose de spécial pour les 40 ans de sa femme.

            40 ans ; un cap important à passer dans la vie de quelqu’un et qui, par conséquent, devait se fêter à sa juste valeur. Il fallut près d’une semaine à Sandrine avant de trouver l’idée parfaite, une évidence qui aurait dû lui venir à l’esprit beaucoup plus tôt. Elle savait Chloé parfaitement heureuse dans sa vie conjugale, comme dans sa vie libertine, mais elle savait aussi qu’elle était frustrée de n’avoir toujours pas pu réaliser un fantasme l’habitant depuis plus de cinq ans, un désir qui lui était venue lors d’une soirée passée ensemble. Après avoir dîné dans un restaurant, elles avaient décidé d’aller au cinéma, mais pas n’importe quel cinéma : un pornographique. Ce n’était pas réellement le film qui intéressait les deux amis, mais plutôt ce qui pouvait se passer dans la salle obscure. L’idée les avait fait beaucoup rire, puis elles avaient mis leur projet à exécution et trouvé rapidement la salle adéquate contenant une vingtaine de personnes, en majorité des hommes.

            Alors qu’elles s’amusaient à promener leurs yeux entre l’écran et un homme installé à leur droite, deux rangées plus loin, une scène du film monopolisa subitement leur attention. L’acteur était habillé en femme, portant une jupette Vichy, retroussé sur ses hanches, des bas noirs maintenus par des jarretelles et des chaussures à talons aiguilles. Une petite culotte en dentelle rouge descendu à ses genoux, penché au-dessus d’une table, il se faisait prendre avec force par une actrice équipée d’un gode ceinture, un châtiment qu’il semblait fortement apprécier, poussant des cris de plaisirs à chaque coup de boutoir.

            Chloé fut totalement subjuguée par cette scène, ne parvenant plus à quitter l’écran des yeux. A un moment, n’y tenant plus, elle avait remonté sa jupe pour glisser une main dans sa culotte et s’occuper de son intimité, jusqu’à atteindre un orgasme qui réveilla toute la salle. En quittant le cinéma, elle avait avoué à Sandrine qu’elle aimerait vivre cette expérience pour de vrai, trouver un homme qui accepterait de se faire sodomiser par elle, mais, plus de cinq années plus tard, elle n’avait toujours pas rencontré l’homme pouvant assouvir son fantasme ; Sandrine voulait lui en offrir un pour son anniversaire et elle pensait avoir trouvé la personne idéale.

            Eric, 23 ans, était un homme aimant les aventures sexuelles, surtout lorsqu’il s’agissait de femmes beaucoup plus âgées que lui, des cougars comme on les nomme aujourd’hui. Il avait connu Sandrine au cours d’un stage qu’il effectuait dans la banque où elle était directrice, avait très vite sympathisé avec elle et, tout aussi rapidement, s’était retrouvé dans son lit une seule et unique fois, passant une nuit dont il se souvenait encore, cinq mois plus tard. Il fut agréablement surpris de recevoir un coup de téléphone de sa part, l’invitant à prendre un verre ensemble, car il n’espérait plus avoir de ses nouvelles un jour.

            Après les rapides banalités d’usage, Sandrine entra rapidement dans le vif du sujet, expliquant à Eric qu’elle souhaitait organiser un anniversaire très spécial pour l’une de ses amies, une soirée où un homme assurerait le service… mais habillé en serveuse.

-          Je ne suis pas sûr d’avoir tout compris.
-          Chloé, mon amie, a un vieux fantasme resté inassouvi, celui d’avoir, à sa disposition, un homme portant des vêtements et dessous féminins !

Elle lui expliqua longuement le déroulé de la soirée, lui présentant une belle fête où le sexe aurait sa part belle, mais décida de ne pas lui parler de la partie concernant la sodomie, estimant que chaque chose devait venir en son temps.

Plus que le travestisme, Eric fut alléché à l’idée de pouvoir faire l’amour avec deux cougars et ce fut sans trop d’hésitation qu’il finit par accepter de participer à ce petit jeu.

-          Comment fait-on pour la tenue ? demanda-t-il.
-          Tu n’as à t’occuper de rien : c’est moi qui m’occupe de te trouver tout ce qu’il faut !
-          D’accord. C’est pour quand cette soirée ?
-          Samedi qui vient, mais il va falloir que l’on te prépare un peu avant.
-          C’est-à-dire ?
-          Une femme avec des poils aux jambes et sur le torse n’est pas vraiment très appétissante ! Passe me prendre chez moi, demain, à 14 heures 30.
-          Pour aller où ?
-          Chez mon esthéticienne.

Le salon d’esthétique ne prenait pas les hommes en temps normal, mais la patronne étant une intime de Sandrine, elle ne pouvait rien lui refuser et accepta de faire une épilation totale sur le corps d’Eric. Néanmoins, afin d’éviter tous scandales avec sa clientèle, elle avait décidé de fermer son salon pour l’après-midi, décision que ses trois employées, pouvant partir plus tôt sans perte de salaire, avaient accueilli avec un grand sourire.

Eric étant entre de bonnes mains, Sandrine partit à l’assaut des magasins de vêtements féminins afin de dénicher la tenue parfaite. Sa première idée fut de trouver quelque chose se rapprochant au plus de ce que portait l’acteur dans le film porno, mais, concernant les dessous, elle craqua  pour un ensemble totalement différent: un soutien-gorge, un porte-jarretelles avec laçage par le devant et un string, le tout en satin et parfaitement coordonné ; des bas noirs en soie vinrent compléter l’ensemble.

Pour la jupette, elle ne trouva rien rappelant le Vichy, en revanche, son cœur fondit sur une mini-jupe à motifs géométriques, mélangeant trois teinte de marrons clairs. Les chaussures furent la partie la plus ardue : Eric chaussait du 44, une pointure loin d’être commune chez les femmes et ce ne fut qu’après avoir fait dizaine de boutiques, qu’elle trouva enfin son bonheur dans une paire de bottillons à lacets, avec des talons pas très hauts, idéale pour que le jeune homme puisse apprendre à marcher très vite avec.

            Le grand jour arriva enfin ; la soirée allait se dérouler chez Sandrine et elle avait décoré son salon pour l’occasion, installant, entre autres choses, de nombreuses bougies pour éclairer la pièce dans une ambiance feutrée. A sa demande, Eric arriva deux heures avant le début des festivités, temps que Sandrine avait jugé suffisant pour la phase préparatoire. A peine avait-il franchi le seuil de la porte, qu’elle lui demanda aussitôt de se déshabiller et de partir sous la douche. Le jeune homme, un peu vexé, lui expliqua qu’il s’était parfaitement lavé avant de venir.

-          Je n’en doute pas une seule seconde, lui dit Sandrine, mais il y un endroit que tu n’as certainement pas dû laver : ton rectum !
-          Pourquoi veux-tu que je me fasse un lavement anal ? répondit-il soudainement très méfiant.

Brusquement beaucoup moins sûre d’elle, Sandrine lui avoua qu’elle ne lui avait pas tout dit sur le programme de la soirée. Eric écouta toute l’histoire avec une grande attention et éprouva le besoin d’aller s’assoir pour réfléchir à tout ceci. Se déguiser en femme, se faire épiler de la tête aux pieds, passe encore, mais se faire sodomiser, même par une femme…

Sandrine sentit son cœur se serrer ; toute la réussite de la soirée reposait sur ce qu’allait décider le jeune homme et, à présent, elle s’en voulait de ne pas lui avoir tout raconté dès le premier  jour, ce qui aurait pu lui permettre de trouver autre chose en cas de refus. Certes, Chloé n’était au courant de rien, mais le cadeau qu’elle lui avait acheté perdrait tout son sens si Eric décidait de partir. Finalement, après quelques minutes d’un long silence et contre toute attente, le jeune homme accepta de rester.

-          Je suppose que tu as tout ce qu’il faut pour effectuer ce lavement ?


Sandrine fut toute émoustillée lorsqu’elle vit Eric nu, sans le moindre poil. Sa verge et ses parties génitales étaient délicieusement excitantes, tout comme l’anus qui se présentait à ses caresses.

Eric sursauta en sentant le gel à l’entrée de son rectum, puis, peu à peu, se décontracta sous le massage qui lui était prodigué, ressentant même un début d’excitation lorsque la pression du doigt s’accentua sur sa fente ; il poussa un gémissement sourd lorsqu’il fut perforé et un autre lorsque le majeur, enveloppé dans un latex très fin, s’agita en lui, imprégnant ses parois de vaseline ; il fut presque déçu que l’opération ne prenne pas plus de temps.

Sandrine avait remplacé le traditionnel pommeau de douche par un objet métallique assez long, fin et de forme conique. Elle fit tout d’abord couler l’eau dans la douche, pour s’assurer de la bonne température, ni trop chaude, ni trop froide, puis enduisit le cône de gel.

-          Penche-toi un peu plus en avant et écarte bien tes jambes ! ordonna-t-elle.

Eric s’exécuta aussitôt et eut un petit sursaut en sentant l’objet métallique investir profondément et lentement son intimité jusqu’alors inviolée ; il en eut un second lorsque l’eau se répandit en lui, mais ne put cacher qu’il appréciait le traitement, sa verge jouant le même rôle que le nez de Pinocchio lorsqu’il disait un mensonge. L’eau se déversa un petit moment en lui, faisant gonfler son ventre au point qu’il finit par croire qu’il allait exploser. Enfin, Sandrine ferma les robinets et retira doucement le cône métallique.

-          A présent, lui dit-elle d’une voix rendue rauque par sa propre excitation, serre les fesses pendant quelques minutes !
-          Combien de temps ?
-          T’inquiète pas : je te dirai quand il sera temps de filer aux toilettes.



II


            La veille, Sandrine s’était rendue dans un sex-shop pour acheter ce qui allait permettre à Chloé de réaliser son fantasme. En plus de ce cadeau, elle avait aussi pris une paire de faux seins en silicone, ceci pour que le soutien-gorge que porterait Eric soit rempli par quelque chose. L’effet, bien que surprenant sur un corps disposant d’attributs masculins, était plutôt satisfaisant. Le jeune homme enfila ensuite le porte-jarretelles et dût demander l’aide de Sandrine pour en effectuer le laçage. Ceci fait, elle lui expliqua comment enfiler les bas avec précautions, pour ne pas les filer, et les lui attacha elle-même aux jarretelles, après qu’il eut mis le string. Elle se recula de quelques pas pour observer l’effet produit et éclata de rire : toujours aussi excité, verge bien droite et bourses gonflées, les attributs d’Eric n’arrivaient pas à tenir correctement dans son carcan de soie.

-          Voilà une bosse fort gênante ! s’exclama-t-elle.
-          Je sais, répondit penaudement Eric, mais je n’arrive pas à débander !

Sandrine consulta sa montre, puis s’agenouilla devant le jeune homme ; il restait une demi-heure avant que n’arrive Chloé, ce qui lui laissait assez de temps pour remédier au problème du mâle en rut, surtout que cette verge l’attirait de plus en plus, provoquant une douce humidité à l’intérieur de ses cuisses. Sans dire un mot, elle lui descendit le string à mi-cuisses  et pris le pénis dans sa bouche. Elle aimait énormément sentir le pouvoir qu’elle avait lorsqu’elle tenait ainsi un homme entre ses lèvres, ses dents. Elle savait parfaitement les amener au bord de l’orgasme pour le freiner brusquement, attendre que la grosse veine se calme, avant de recommencer encore et encore. Par moment, elle s’arrêtait juste à temps pour que seul un petit jet de sperme gicle de l’urètre ; le plus souvent, elle faisait cela avec un homme attaché, pieds et mains, à un lit ou bien une chaise. Elle jouissait intérieurement en entendant son partenaire hurler, la supplier de le libérer, mais elle continuait sa douce torture, allant jusqu’à lui arracher, parfois, des larmes.

Elle aurait voulu faire la même chose avec Eric,  mais le temps lui faisait défaut : tout devait être prêt avant l’arrivée de Chloé. Elle sortit un instant la verge de sa bouche ; le gland était devenu rouge vif et, en levant les yeux, elle constata que ceux d’Eric étaient totalement clos : il était entièrement en son pouvoir. Elle humecta son index, puis reprit la verge à pleine bouche.

Eric commençait à ressentir les premiers indicateurs d’une vague sur le point de se soulever. Ondulant doucement des hanches, il poussait de petits soupirs de bonheur et n’avait plus le moindre regret d’avoir accepté cette étrange soirée. Presque involontairement, il  se cambra lorsque sa maîtresse promena un doigt entre ses fesses et frémit quand ce même doigt força l’entrée de son anus, se faufilant dans le rectum en s’agitant tel un petit serpent.

Sandrine sentit la grosse veine battre plus vite sur sa langue. Elle agita son doigt plus rapidement dans la grotte étroite et ses oreilles se délectèrent des gémissements d’Eric, à un tel point que sa petite culotte lui collait au vagin tant elle était trempée de cyprine. Le sperme chaud vint la frapper brutalement au fond de la gorge, mais elle continua à pomper sur le membre jusqu’à ce qu’il n’y ait plus une seule goute qui s’en déverse, tout en continuant à s’activer dans le rectum du jeune homme qui ne contenait plus ses hurlements de plaisirs.

Après quelques minutes, tout était enfin rentré dans l’ordre et Eric put mettre le string en y faisant entrer tous ses attributs. Il acheva d’enfiler le reste des vêtements, puis Sandrine l’aida à se glisser dans les bottillons, en jetant quelques regards furtifs sous la mini-jupe. Le string était noir transparent et l’objet de plaisir, prisonnier de cette soie divine, se devinait très facilement.

-          Marche un peu, demanda-t-elle en s’éloignant de quelques pas, que je vois ce que cela donne.

Eric obéit aussitôt et éprouva une sensation étrange à évoluer ainsi, en talon haut et mini-jupe. A chacun de ses pas, les bas en soie semblaient lui caresser les jambes en des milliers d’endroits à la fois, lui procurant quelques frissons, et la ficelle du string, bien logée entre ses fesses, lui donnait l’impression de vouloir pénétrer son anus.

-          Tu marches comme un mec ! s’exclama Sandrine en riant.
-          C’est un peu normal, non ?
-          Certes, mais n’oublie pas que pour ce soir, tu es une femme et dois donc adopter des comportements adéquats, moins machos ! Essaie de marcher en croisant les pieds devant toi.

Après une dizaine de minutes d’entrainement, Eric finit par assimiler une démarche qui convint enfin à Sandrine. La mini-jupe s’arrêtait suffisamment haut pour voir qu’il portait des bas maintenus par des jarretelles, ce qui donnait envie d’aller voir encore plus haut. Pour parfaire la tenue, Sandrine lui fit enfiler un chemisier de sa propre garde-robe ; fort heureusement il n’était pas de forte corpulence et le chemisier lui alla parfaitement. Elle se recula pour admirer le résultat final.

-          Incroyable ! s’exclama-t-elle. L’effet est… saisissant !

La ponctualité étant l’une de ses grandes qualités, Chloé arriva à 21 heures précises. Elle s’extasia aussitôt devant l’ingéniosité déployée par son amie pour la décoration du salon, transformé, pour l’occasion, en une charmante petite salle-à-manger.

-          Ma chérie, tu t’es mise en quatre ce coup-ci !
-          40 ans, ma belle, cela se fête dignement, répondit Sandrine, et tu n’as pas encore tout vu ! Installons-nous à table : ce soir, nous avons la chance d’avoir une serveuse… très particulière !

Très intriguée, Chloé prit place sur une chaise en face de son amie et cette dernière agita une petite clochette qui se trouvait posée sur la table. Eric arriva aussitôt, portant un plateau supportant deux coupes de Champagne. Chloé ne put s’empêcher de se frotter les yeux, puis, l’instant de stupeur passée, elle se sentit gagné par une très forte émotion, se souvenant, soudainement, de la scène d’un film bien précis.

-          Je te présente Eric, un ami, lui expliqua Sandrine. Ce soir, il est là pour toi, pour ton anniversaire. Il est entièrement à ton service, prêt à satisfaire tes moindres désirs !
-          Tu es sérieuse ?
-          Eric, je te laisse le soin de répondre à mon amie Chloé.
-          Oui, madame, je suis entièrement à votre disposition pour tout le temps que durera cette soirée.
-          Wow !

Eric posa les coupes sur la table, puis repartit vers la cuisine, croisant les pieds devant lui comme le lui avait appris Sandrine. Chloé le regarda s’éloigner, déjà très fascinée par le fessier ondulant du jeune homme.

-          Bon, fit-elle à l’adresse de son amie, dis-moi tout. Qui est ce gamin ?
-          Ton fantasme à portée de main, répondit Sandrine.
-          Nous parlons de quel fantasme ?
-          Tu le sais très bien ! Ce soir, tu vas enfin pouvoir le réaliser !
-          Si je m’attendais à ça… C’est bien la première fois que je n’arrive pas à trouver mes mots.
-          Et tu n’as pas encore tout vu !
-          Il y a encore autre chose ?
-          Bien sûr ! Il manque un petit paquet cadeau, contenant le nécessaire pour aller jusqu’au bout de tes envies !
-          Et où est-il ce cadeau ? demanda Chloé en regardant rapidement autour d’elle.
-          Patience, ma belle, chaque chose en son temps ; je te le donnerai au moment du dessert !
-          Je ne suis pas certaine de tenir jusqu’à là : mon petit minou commence déjà à saliver fortement… si tu vois ce que je veux dire.

Sandrine éclata de rire, imaginant que trop bien ce qu’il pouvait se passer au niveau de la grotte aux merveilles de Chloé. Elle leva sa coupe devant elle et porta un toast :

-          Je souhaite que cet anniversaire soit l’un des plus beaux de ta vie !



III


Eric passa le début de soirée à naviguer entre le salon et la cuisine, apportant au fur et à mesure les plats que Sandrine avait commandé chez un traiteur et s’assurant à ce que les verres des deux amies soient toujours remplis, le tout en affichant un grand sourire et en échangeant de nombreux regards complices avec Chloé.

Dans un premier temps, il s’était senti très gêné par le string : habitué à porter essentiellement des boxers, le frottement de la ficelle, bien calée entre ses fesses et contre son anus, l’avait fortement dérangé ; il avait eu beau tirer dessus, elle avait toujours repris sa place. Puis, petit à petit, il avait fini par s’habituer à ce contact, jusqu’à l’oublier totalement. En revanche, le fait d’évoluer en bas de soie et mini-jupe lui avait tout de suite donné un sentiment de bien-être qu’il avait du mal à s’expliquer, à tel point qu’il se surprit à penser qu’il était bien dommage que ces tenues soient exclusivement réservées aux femmes, sachant que ces dernières pouvaient porter des pantalons sans que cela ne choque personne.

Chloé s’était tout d’abord sentie intimidée par cette présence masculine si efféminé, puis, en cours de repas, quelque peu grisée par les verres de vin, elle avait fini par se laisser prendre au jeu, pour finir par se lâcher complètement avant que n’arrive le dessert. Alors qu’Eric débarrassait la table des assiettes et couverts devenus inutiles, elle attendit qu’il soit assez près d’elle pour poser une main sur sa cuisse et la faire glisser tout doucement sous la jupe, jusqu’à rencontrer la peau nue du jeune homme. Surpris, ce dernier ne put réprimer un petit sursaut, avant de se laisser totalement faire. La main de Chloé caressa furtivement ses testicules au travers du string, puis s’attarda quelques secondes sur l’une de ses fesses pour la masser assez fermement.

-          Tourne-toi ! lança-t-elle brusquement, prenant confiance en elle. Et penche-toi !

Eric obéit sans dire un mot et s’aida du bord de la table pour pouvoir se maintenir courber en avant. Dans cette position, la mini-jupe était remontée assez haut pour que Chloé puisse voir la naissance du fessier et la ficelle du string s’y perdant. Une vive émotion la gagna rapidement, lui procurant une douce chaleur au ventre, et, n’y tenant plus, elle retroussa la jupe sur les hanches du jeune homme et lui écarta aussitôt les fesses, désireuse de voir l’objet de son fantasme. D’une main un peu fébrile, elle poussa la ficelle sur un côté et s’extasia à la vue de l’anus, si petit, si fragile. Elle approcha lentement son visage et promena la pointe de sa langue le long de la raie.

Eric frissonna à ce contact et ferma les yeux en sentant l’organe humide flirter à l’entrée de sa grotte. Son cœur se mit à battre plus vite, plus fort, à la fois d’excitation, mais aussi d’un peu de crainte, et son sexe se durcit aussitôt.

-          Il semblerait que tu aimes ça ?
-          Oui, madame.
-          Tu as déjà été sodomisé ?
-          Non, jamais.
-          Cela n’en est que plus excitant !

Sandrine observait la scène en silence et  fut elle-même gagnée par un trouble très fort, d’autant plus fort que son excitation était en latence depuis bien avant que n’arrive Chloé. Ravie de voir le sourire de satisfaction illuminer le visage de son amie, elle décida néanmoins d’intervenir, avant que les choses n’aillent trop loin : il était encore trop tôt.

-          Eric, va m’attendre dans la cuisine ! dit-elle d’une voix un peu rauque. Le moment du dessert est arrivé, continua-t-elle à l’adresse de son amie. Es-tu prête pour le gâteau et… pour ton premier cadeau ?
-          Plutôt deux fois qu’une, répondit Chloé les yeux brillants d’excitation.
-          Alors, ne bouge surtout pas : je reviens très vite !

Lorsque Sandrine entra dans la cuisine, Eric avait déjà posé la génoise au chocolat sur le plan de travail et s’afférait à y positionner des bougies avec un grand soin.

-          Te souviens-tu de ce que tu dois faire ensuite, une fois que tu auras amené le gâteau ?
-          Je file dans ta chambre et j’y reste jusqu’à nouvel ordre.
-          Tu es un ange. Je te suis reconnaissante pour mon amie et je suis certaine que tu ne vas pas le regretter !
-          C’est aussi ce que je crois, même si je continue à avoir une petite appréhension.

Sandrine déposa un petit baiser sur la joue d’Eric, puis pris le paquet cadeau qu’elle avait rangé dans l’un des placards et s’en retourna gaiement au salon, accompagnée par le jeune homme portant la génoise. Tous deux entonnèrent en cœur un « joyeux anniversaire » bourré de fausses notes, mais qui fit néanmoins verser une larme à Chloé. Tandis que cette dernière soufflait les quarante bougies, Eric s’éclipsa discrètement.

-          A présent, ma belle, voici la première partie de ton cadeau !

Excitée comme une puce, Chloé prit le paquet que lui tendait son amie et déchiqueta le papier d’une main nerveuse ; elle fut très surprise en découvrant l’objet : elle s’était attendue à recevoir un gode ceinture, le thème de la soirée étant basé sur son vieux fantasme, mais ce qu’elle avait devant les yeux ne ressemblait en rien à un gode ceinture classique.

-          C’est un gode Share, lui expliqua Sandrine en riant. La partie la plus courte, complètement recourbée, vient se glisser dans le vagin ; il parait que cela augmente le plaisir lorsque l’on pénètre ainsi quelqu’un, quel que soit l’endroit que l’on pénètre.
-          Incroyable, murmura Chloé commençant à visualiser la chose. Tu m’aides à l’installer ?

Sans attendre la réponse, Chloé retira ses chaussures, son jean et sa petite culotte, puis s’approcha de Sandrine dont elle devina le trouble dans ses yeux. Même si elles partageaient beaucoup de choses au cours de leurs longues discussions, il n’y avait jamais eu d’ambiguïté entre elles, aucun acte sexuel, pas même un échange de baiser, même si le désir s’était secrètement fait sentir parfois.

-          Tu m’aides ? répéta Chloé en lui tendant le gode.

Sans dire un mot, Sandrine se saisit de l’objet et se s’approcha de son amie, se sentant enivrée par son parfum légèrement épicé. Elle inséra d’abord le gode dans le harnais en cuir noir qui l’accompagnait, puis, la gorge serrée par l’émotion, elle porta une main à la vulve parfaitement rasée et s’aperçut qu’elle était déjà bien humide en lui écartant les grandes lèvres. Timidement, presque maladroitement, elle infiltra un doigt dans la fente et Chloé ouvrit un peu plus les jambes pour lui faciliter le passage en expirant un peu plus fort.

-          Es-tu prête, lui demanda Sandrine dans un souffle.
-          Oh que oui !

Chloé ferma les yeux et s’agrippa aux épaules de son amie, tandis que cette dernière présentait le gode à l’entrée de son vagin. Avec une infinie précaution dictée par son inexpérience, elle commença à le faire entrer, à l’écoute de la respiration rapide de son amie. Lorsqu’elle fut arrivée en bout de course, elle ne put résister à l’envie de donner quelques mouvements de va-et-vient au gode et s’arrêta en entendant les premiers gémissements de Chloé. Passant ses bras autour de sa taille, elle fixa le harnais en cuir destiné à maintenir le gode bien en place.

-          Te voilà appareillée pour le grand final, lui dit-elle.

Chloé ne chercha même pas à résister à l’envie furieuse qui venait de s’emparer d’elle. Sans dire un mot, elle colla ses lèvres à celles de Sandrine, força sa bouche et alla trouver sa langue tout en glissant une main ferme sous sa jupe. Son désir augmenta d’un cran supplémentaire en découvrant que son amie ne portait pas de dessous et qu’elle était fortement trempée. D’une force presque bestiale, elle la souleva pour la mettre sur la table, la fit s’allonger et retroussa sa jupe. Elle caressa un moment les grandes lèvres, puis approcha le gode et l’empala assez rapidement.

Très vite remise de sa surprise, Sandrine posa ses jambes sur les épaules de sa partenaire et se mit à agiter ses hanches au rythme des coups de boutoirs qui lui étaient assénés. Son excitation était telle et si longtemps contenue, qu’elle sentait déjà se lever la grande vague orgasmique.

Chloé était agréablement surprise par son nouveau jouet qui, bien que solidement maintenu par le harnais, bougeait en elle en accompagnant à merveille tous ses mouvements de va-et-vient. Des picotements pétillèrent aux creux de ses reins et elle s’activa encore plus rapidement, plus fort, arrachant des hurlements de plaisir à sa partenaire. Elle planta sauvagement ses ongles dans les mollets de Sandrine lorsque l’orgasme explosa en elle, déclenchant aussitôt celui de celle qui était devenue, l’espace d’une soirée, plus qu’une complice, une véritable amante.



Chapitre IV

Les cris de plaisir des deux femmes avaient mis Eric dans un intense état d’excitation, à tel point qu’il avait été tenté de se caresser pour se donner du plaisir en solitaire. Mais il réussit à résister à cette envie et se sentit soulagé lorsqu’il comprit que les deux amies en avaient fini et allaient bientôt faire leur apparition dans la chambre où il se trouvait. Son cœur s’accéléra brusquement lorsque la porte s’ouvrit devant Sandrine, suivie de près par Chloé. Son regard se porta immédiatement sur l’appareillage de cette dernière et une petite boule se forma dans sa gorge en voyant approcher de lui ce faux sexe masculin, si droit, si rigide et d’une taille qui lui paraissait impressionnante.

Sandrine s’était mise dans un coin de la chambre pour, armée d’un superbe appareil numérique, prendre les photos qui allaient immortaliser cette soirée si spéciale pour les trois protagonistes. Elle prit plusieurs clichés de son amie, subjuguée par sa grâce féline. Elle était étonnée de voir que, malgré l’objet niché entre ses jambes, elle arrivait à conserver une démarche des plus féminines.

Chloé avançait très lentement, appréciant, à chacun de ses pas, le doux supplice auquel la mettait la partie du gode enfoncé en elle. Elle ne quittait pas des yeux Eric, assis sur le bord du lit, et devinait l’appréhension qui l’habitait ; mais elle savait qu’il n’y aurait plus de marche arrière, qu’elle saurait le mettre en confiance et lui faire partager l’immense plaisir qu’elle était certaine de prendre. Elle s’arrêta devant lui pointa le gode devant sa bouche.

-          Suce ! lui ordonna-t-elle. Et suce bien ! Tu vas voir que tu vas beaucoup aimer : il a le gout du plaisir de Sandrine !

Eric donna de petits coups de langue timides et fut aussitôt surpris de constater que Chloé avait dit vrai : au-delà d’une petite odeur de silicone, le gode avait bien un goût de cyprine.

-          Je t’ai demandé de sucer ! s’écria Chloé en le prenant par les cheveux. Donc, suce ! ajouta-t-elle en donnant un coup de rein pour lui enfoncer le gode dans la bouche.

D’abord très surprise par le côté dominatrice qu’elle ne connaissait pas chez Chloé, Sandrine éprouva rapidement une forte montée d’adrénaline en voyant la bouche d’Eric se déformer sous l’intrusion brutale du gode. Puis une douce chaleur lui envahit le creux  du ventre, lui procura des picotements dans les reins et humidifia l’entrée de sa féminité, lorsque son amie se mit à donner des coups de hanche assez rapide, en maintenant fortement la tête d’Eric d’une main. La réalité semblait dépasser la fiction et elle voyait parfaitement le plaisir que Chloé prenait à ce jeu.

-          Tu aimes ça, n’est-ce pas ?
-          Oui, répondit Eric en tentant de reprendre un peu son souffle.
-          Oui, qui ?
-          Oui, Madame.

Chloé esquissa un petit sourire puis décida de passer à autre chose. Elle ordonna au jeune homme de se mettre à quatre pattes sur le lit et, une fois fait, lui ramena la minijupe sur les hanches pour promener son index le long de la raie des fesses ; Eric se mit aussitôt frémir.

Sandrine se rapprocha pour prendre de meilleures photos, son entrecuisse de plus en plus trempée. Elle savait qu’elle ne continuerait pas longtemps ainsi, en simple spectatrice : ce qu’elle voyait était bien au-delà de ce qu’elle avait imaginé et elle avait de plus en plus de difficulté à résister au désir de se caresser le clitoris, de faire danser ses doigts dans sa vulve. Cette envie tripla d’intensité lorsque son amie s’agenouilla devant la croupe d’Eric et lui descendit brutalement le string aux genoux.

Chloé tint les fesses d’Eric écartées avec ses deux mains et promena un moment la pointe de sa langue entre les testicules et l’anus. Il apprécia fortement ce nouveau traitement, doux, délicat, chaud et il poussa un gémissement lorsque l’organe humide stoppa enfin ses allées et venues pour se concentrer sur sa corolle. Presque inconsciemment, il avança un peu plus ses hanches vers la bouche de sa maîtresse, soudainement désireux qu’elle poursuive plus loin ses investigations, mais Chloé se redressa brusquement en lançant un clin d’œil rapide à Sandrine. Cette dernière comprit le message, posa son appareil photos au sol et ouvrit le tiroir de sa table de chevet pour en sortir un tube de vaseline qu’elle tendit aussitôt à son amie.

Eric sursauta en sentant la petite noisette de lubrifiant couler entre ses fesses et poussa un long soupir lorsqu’un doigt vint lui masser l’anus, se faisant de plus en plus pressant, jusqu’au moment où il le pénétra doucement, en tournoyant afin de bien étaler la vaseline. Sa respiration commença à devenir un peu plus rapide et il ne put s’empêcher d’onduler des hanches pour accompagner le mouvement du doigt.

Enhardie par ce début prometteur, Chloé décida d’enduire aussi son majeur de lubrifiant, afin qu’il rejoigne l’index dans la chaude cavité, puis imprima des va-et-vient à ses doigts de plus en plus rapides, de plus en plus forts.

-          Aimes-tu ce que je te fais ? demanda-t-elle d’une voix très rauque.
-          Oh que oui !
-          Alors, il est temps de passer aux choses sérieuses !

Chloé enduisit le gode d’une bonne quantité de vaseline, puis le présenta à l’entrée de la caverne masculine et, s’aidant d’une main, commença à le faire glisser lentement, savourant avec délice le sentiment de puissance, de domination qu’elle éprouvait à ce moment-là. Elle sentit bien qu’Eric, sans doute dans un réflexe involontaire, essayait de repousser l’intrus, mais elle était la plus forte et, tout doucement, le gode fut entièrement avalé par le rectum. Elle resta au fond du jeune homme sans bouger ; les contractions du sphincter se faisait sentir tout le long du gode, se communiquant dans la partie nichée en elle et lui donnant d’intenses frissons. Puis, finalement, Eric finit par se relâcher totalement et elle commença alors ses mouvements d’allers retours, doucement d’abord, puis de plus en plus fort, jusqu’à en faire claquer ses cuisses contre les fesses du jeune homme. Ce dernier, les yeux fermés, sentait un réel plaisir à cette pénétration devenant de plus en plus sauvage. Sans aucune retenue, il poussait de forts et longs gémissements, encourageant par moment sa maîtresse à le prendre encore plus fort. A présent, le gode sortait entièrement de son rectum, pour s’y replonger aussitôt et s’enfoncer au plus profond de lui.

Chloé sentit l’onde de choc se préparer à se soulever en elle. Elle ne quittait plus des yeux l’anus parfaitement dilaté en se souvenant des images du film. Mais, cette fois, elle était la femme dominatrice et l’homme, qui criait sous ses violents coups de boutoirs, n’était pas un acteur : les cris n’étaient pas simulés, mais bien réels. Des fourmis semblèrent lui monter le long de ses jambes ; ses ongles se plantèrent dans les fesses du jeune homme, le faisant hurler à la fois de douleur et de bonheur, et elle se laissa emporter par la grande vague qui déferla en elle, la faisant crier à son tour de plaisir.

Après quelques petites secondes nécessaires pour reprendre son souffle, Chloé se retira et regarda la cavité béante de celui qu’elle considérait maintenant comme son esclave, les yeux toujours aussi brillants d’envie. Elle en approcha sa bouche et y fit lentement couler un long flot de salive. Le liquide chaud surpris d’abord Eric, puis lui arracha de nouveaux frissons tandis qu’il descendait le long de sa paroi anale.

-          Je vais encore te prendre ! lui lança Chloé. Allonge-toi sur le dos !

Elle lui prit les pieds pour poser ses jambes sur chacune de ses épaules, de manière à ce qu’il ait les hanches légèrement relevés, et le pénétra d’un coup de rein puissant. Alors qu’elle allait et venait en lui, elle ressentit des sensations différentes de la première fois : cette fois, elle pouvait voir son visage se tordre sous ses puissantes envolées de hanches.

Sandrine avait définitivement lâché son appareil photos. Deux doigts s’activant dans son vagin, elle s’était approchée du lit, regardant avec envie la verge dure et droite d’Eric. Ce-dernier se tordait à présent dans tous les sens, à l’identique d’une femme se faisant prendre par un homme. Bientôt, il se mit à ressentir comme une envie d’uriner, un besoin de plus en plus fort, de plus en plus pressant qu’il savait qu’il ne pourrait plus contenir. Il eut un instant de crainte, un très court instant, juste avant que des milliers d’étoiles semblent apparaitre devant lui. Ses pensées et tout son corps échappèrent à son contrôle et il fut emporté dans un orgasme d’une puissance qu’il n’avait jamais connu jusqu’alors, un orgasme qui le éjaculer sans que qui que ce soit touche à sa verge, projetant de longs jets de sperme que Sandrine accueillit sur son visage, emportée, elle aussi, dans le labyrinthe de la jouissance.








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